Thai military ruler Prayuth Chan-Oc

Thai military ruler Prayuth Chan-Ocha, who since seizing control of the country has summoned hundreds of people to military camps for what he terms “attitude adjustment,” warned that more journalists seen as too critical may be ordered to report to authorities.

Prayuth, who toppled the elected government in a May 2014 coup, said the media ignore his government’s accomplishments and instead focus solely on issues such as human rights or criticizing him. Prayuth, who in an interim constitution granted himself absolute power through which all his actions are legal, insisted he has never broken the law.

“Today you still write the same kind of news reports” as before the coup, he told reporters Tuesday at Government House in Bangkok. “It can’t be like that.”

“What is reported in the media makes Thailand look like there is no political stability, even though we’re peaceful now,” he said. “It’s O.K. whether you’ll support me or not, but don’t overly oppose me.”

Rights groups say that since the coup the junta has summoned more than 750 politicians, activists, academics and journalists to report to authorities for temporary detention of up to seven days. Detainees have reported being interrogated by military personnel without access to lawyers and being forced to sign documents pledging not to oppose the military junta under threat of military trial. In recent weeks the junta has summoned two high-profile journalists for attitude adjustment, one a columnist at a Bangkok daily newspaper and the other a political cartoonist.
Invited to ‘Chat’

Prayuth on Tuesday defended his junta’s actions.

“I would like to ask you whether there is any media in jail or not,” he said. “Is there anyone? We invite some people to chat. Why can’t I call them in for a chat? I can’t touch the media at all? I can’t invite them for a meeting? If there is misunderstanding, we invite them to chat to create understanding."

Prayuth, who holds the title of prime minister in addition to heading the military junta, is under increasing pressure as Thailand’s economy slows, exports shrink and household debt rises. There is no firm date for a return to elections and civilian rule, with the previous time line delayed last month when the junta’s reform council rejected a proposed draft constitution.

Prayuth has said he had no choice but to stage the coup in order to end more than a decade of sometimes deadly political unrest by rival factions and “return happiness” to a divided population. He has repeatedly called for patience as he and his appointed bodies map out and implement broad reforms across Thai society.

The government’s crackdown on dissent has led to a “shrinking democratic space” in Thailand, according to a United Nations statement released after Secretary-General Ban Ki-Moon met Prayuth last month in New York. Ban has called for freedoms of speech and assembly to be upheld.

Résultats (Français) 1:

Dirigeant militaire thaïlandais Prayuth Chan-Ocha, qui, depuis de prendre le contrôle du pays, a convoqué des centaines de personnes dans des camps militaires pour quelle he termes « attitude adjustment, » a averti que plus de journalistes considérés comme trop critiques peuvent être commandés de signaler aux autorités.Prayuth, qui a renversé le gouvernement élu lors d'un putsch de mai 2014, a déclaré aux médias ignorent les réalisations de son gouvernement et plutôt se concentrent uniquement sur des questions comme les droits de l'homme ou de critiquer lui. Prayuth, qui, dans une constitution provisoire accordée lui-même pouvoir absolu à travers lequel toutes ses actions sont légale, a insisté pour qu'il n'a jamais enfreint la Loi.« Aujourd'hui vous écrivez toujours le même genre de reportages d'actualité » car avant le coup d'Etat, il a déclaré aux journalistes mardi à Government House à Bangkok. « Il ne peut pas être comme ça. »« Ce qui est rapporté dans les médias fait Thaïlande ressemble il n'y a pas de stabilité politique, même si nous sommes tranquille maintenant, » dit-il. « C'est OK si vous allez me soutenir ou pas, mais ne pas trop s'opposent à moi. »Groupes des droits de dire que, depuis le coup d'Etat, la junte a convoqué plus de 750 hommes politiques, militants, universitaires et journalistes de signaler aux autorités pour la détention temporaire de sept jours. Détenus aurait été interrogé par les militaires n'ont pas accès aux avocats et contraints de signer des documents s'engageant ne pas à s'opposer à la junte militaire, sous la menace de procès militaire. Ces dernières semaines, la junte a convoqué deux journalistes de grande envergure pour le changement d'attitude, un chroniqueur à un quotidien de Bangkok et l'autre un caricaturiste politique.Invité à « Chat »Prayuth mardi a défendu les actions de la junte.« Je voudrais vous demander s'il y a n'importe quel média en prison ou pas, » dit-il. « Y a-t-il quelqu'un ? Nous invitons des personnes pour discuter. Pourquoi ne puis je les appelle pour un chat ? Je ne peux pas toucher les médias à tous ? Je ne peux pas les inviter pour une réunion ? S'il y a malentendu, nous les invitons à chat pour créer la compréhension. »Prayuth, qui détient le titre de premier ministre en plus de la position de la junte militaire, est sous la pression croissante que ralentit l'économie de la Thaïlande, les exportations se rétrécissement et endettement des ménages s'élève. Il n'y a aucune date ferme pour un retour aux élections et à un régime civil, avec la ligne précédente de temps retardé le mois dernier quand Conseil de réforme de la junte a rejeté une proposition de projet de constitution.Prayuth a dit qu'il ne pouvait qu'au stade du coup d'Etat afin de mettre fin à plus d'une décennie de troubles parfois mortelle politiques par des factions rivales et "retour de bonheur" à une population divisée. Il a demandé à plusieurs reprises pour la patience que lui et sa carte d'organismes désignés sur et mettre en oeuvre de vastes réformes dans l'ensemble de la société thaïlandaise.Répression de la dissidence par le gouvernement a conduit à un « espace démocratique qui rétrécit » en Thaïlande, selon un communiqué de l'Organisation des Nations Unies libéré après que le Secrétaire général Ban Ki-Moon a rencontré Prayuth le mois dernier à New York. Ban a appelé des libertés d'expression et d'Assemblée être maintenue.

Résultats (Français) 2:

Dirigeant militaire thaïlandaise Prayuth Chan-Ocha, qui, depuis la prise de contrôle du pays a convoqué des centaines de personnes dans des camps militaires pour ce qu'il appelle "changement d'attitude", a averti que davantage de journalistes considérés comme trop critique peut être ordonné de signaler aux autorités. Prayuth, qui a renversé le gouvernement élu en mai 2014 un coup d'Etat, a déclaré que les médias ignorent les réalisations de son gouvernement et à la place se concentrer uniquement sur ​​des questions telles que les droits humains ou le critiquer. Prayuth, qui, dans une constitution provisoire lui a accordé le pouvoir absolu à travers lequel toutes ses actions sont légales, a insisté qu'il n'a jamais enfreint la loi. "Aujourd'hui, vous écrivez toujours le même genre de reportages" comme avant le coup d'Etat, il a déclaré aux journalistes mardi à gouvernement Maison à Bangkok. "Il ne peut pas être comme ça." "Qu'est-ce qui est rapporté dans les médias rend la Thaïlande ressemble n'y a pas de stabilité politique, même si nous sommes maintenant pacifique", at-il dit. "Il est OK si vous me soutenez ou pas, mais ne vous opposez pas trop de moi." Des groupes de droits disent que depuis le coup d'Etat de la junte a convoqué plus de 750 politiciens, des activistes, des universitaires et des journalistes de signaler aux autorités de la détention temporaire de jusqu'à sept jours. Des détenus ont déclaré avoir été interrogé par des militaires, sans accès à un avocat et d'être forcé à signer des documents engageant à ne pas s'opposer à la junte militaire sous la menace d'un procès militaire. Au cours des dernières semaines, la junte a convoqué deux journalistes de haut niveau pour l'ajustement de l'attitude, un chroniqueur au quotidien Bangkok et l'autre un caricaturiste politique. Invité à 'chatter' Prayuth a défendu mardi les actions de son junte. "Je voudrais demander vous si il ya des médias en prison ou pas, »dit-il. "Y a-t-il quelqu'un? Nous invitons des gens discuter. Pourquoi je ne peux pas les appeler pour un chat? Je ne peux pas toucher les médias du tout? Je ne peux pas les inviter à une réunion? Si il ya des malentendus, nous les invitons à discuter de créer la compréhension. "Prayuth, qui détient le titre de premier ministre, en plus de la tête de la junte militaire, est sous la pression croissante que l'économie de la Thaïlande ralentit, les exportations diminuent et que la hausse de la dette des ménages. Il est aucune date ferme pour un retour à des élections et un gouvernement civil, avec la ligne de temps précédent retardé le mois dernier lorsque le Conseil de la réforme de la junte a rejeté un projet de constitution proposé. Prayuth a dit qu'il n'a pas d'autre choix que de mettre en scène le coup d'Etat pour mettre fin à plus d'un décennie de troubles politiques, parfois mortelle par des factions rivales et «retour du bonheur" à une population divisée. Il a appelé à plusieurs reprises à la patience que lui et ses organismes désignés tracer et mettre en œuvre de vastes réformes dans la société thaïlandaise. la répression du gouvernement sur ​​la dissidence a entraîné une «rétrécissement de l'espace démocratique» en Thaïlande, selon un communiqué des Nations Unies publié après que le secrétaire général Ban Ki-Moon a rencontré Prayuth le mois dernier à New York. Ban a appelé à des libertés de parole et de réunion doit être confirmé.

Résultats (Français) 3:

"chef militaire thaïlandais prayuth chan ocha, qui depuis s'emparer du pays a rassemblé des centaines de personnes vers des camps militaires pour ce qu'il appelle" changement d'attitude ", a averti que d'autres journalistes considérés comme trop critique peut être ordonné de se présenter aux autorités.

prayuth, qui a renversé le gouvernement élu en mai 2014, coup d'État,dit que les médias ignorent ses réalisations du gouvernement et se concentrer uniquement sur des questions telles que les droits de l'homme ou de critiquer.prayuth, qui dans une constitution provisoire accordé lui - même le pouvoir absolu que toutes ses actions sont légales, a insisté sur le fait qu'il n'a jamais enfreint la loi.

"aujourd'hui, vous écrivez toujours le même genre de reportages" avant le coup d'Étatil a dit aux journalistes mardi à la maison du gouvernement à bangkok."il ne peut pas être comme ça."

"ce qui est rapporté dans les médias fait de thaïlande regarde comme il n'y a pas de stabilité politique, même si nous sommes pacifiques maintenant », dit - il.« c'est bien que tu me soutiendras ou pas, mais de ne pas trop s'opposer à moi. "

groupes disent que depuis le coup d'etat de la junte a convoqué plus de 750 hommes politiques,des militants, des universitaires et des journalistes pour rendre aux autorités de détention temporaire de sept jours.les détenus ont indiqué avoir été interrogé par des militaires sans accès à un avocat et contraints de signer des documents promettant de ne pas s'opposer à la junte militaire sous la menace d'un procès militaire.au cours des dernières semaines, la junte a convoqué deux éminents journalistes de changement d'attitude, un éditorialiste du quotidien et à bangkok un caricaturiste politique.
invités à « clavarder »

prayuth défendu sa junte mardi.

"je voudrais vous demander s'il existe des médias en prison ou pas", dit - il."il y a quelqu'un?nous invitons des gens parler.pourquoi je ne peux pas les appeler pour bavarder?je ne peux pas toucher les médias à tous?je ne peux pas les inviter à une réunion?s'il y a des malentendus, nous les invitons à parler à créer une compréhension. "

prayuth, qui détient le titre de premier ministre, en plus de la position de la junte militaire, est sous la pression croissante que la thaïlande est économie ralentit, les exportations psy et l'endettement des ménages augmente.il n'y a aucune date pour un retour aux élections et un régime civil, avec la précédente ligne de temps retardé le mois dernier, quand la junte a rejeté un projet de réforme de la constitution du conseil.

prayuth a dit qu'il n'avait pas d'autre choix que de le coup afin de mettre fin à plus de dix années de troubles politiques par des factions rivales, parfois meurtrières, et "le retour de bonheur » à une population divisée.il a demandé à plusieurs reprises de patience que lui et ses organismes désignés définir et mettre en œuvre de vastes réformes dans la société thaïlandaise.

le gouvernement est la répression contre la dissidence, a conduit à une « diminution de l'espace démocratique "en thaïlande, selon une déclaration publiée après que le secrétaire général des nations unies ban ki - moon, rencontré prayuth le mois dernier à new york.ban a appelé pour les libertés d'expression et de réunion soit maintenue.