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Français) 3:
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tu est allong é pr è s de moi.tu regarde la bosse qui se prononce au niveau de mon entrecuisse.je bande comme un salaud!tu la touche l é g è état de la main.hum...comme c'est dur!mon dieu!comme cette bandaison est prometteuse!alors, je à, tu n'h site é fe.je la pelote copieusement de toute ma main de ma paume et de mes cinq doigts.sa morsure, sous l 'é toffe de son pantalon,est dure comme de la pierre.tu la caresse de plus en plus avec instance.tu et toute excités é e; et moi aussi, bien û r. il est maintenant dans tous ses é tatouages.chaud comme de la braiser.il est en surchauffe.sur dirait qu'il va exploser.il faut faire quelque chose.alors, tout doucement, tu down la fermeture é clair de mon pantalon.ta principaux taquine,vient s'immiscer dans cette fente ouverte qui me donne libre le cac è s à la douceur du tissu de mon boxeur.tu sens sous ta principale les formes avantageuses de cette attente prometteuse et bien gonfl é e. il faut la lib é rer!tu d é sifa la ceinture et puis le bouton du pantalon.tu down le tout.et puis, d'un geste, tu lib è re ma queue de 28 cm.comme un diable sortant de sa bo î à te, elle te saute à la figure.quelle queue!enorme!mon gland est turgescents et quelques gouttes nacr é é es s'chappent.quelle merveille!tu n'y r é sœur pas.maintenant, tu la aller û té par petites touches de ta langue gourmande.hum... comme tu État bien c'est bon!c'est sal é!c'est du miel chaud qui coule dans ta bouche.ma queue est nourrissante.tu m'excite à outrance.je sens tout ton corps s'embraser.tu tr è s affaire comme une chatte avide de son p'tit lait, et tu la lape goul û ment avec d é lectation.passons aux choses s é rieuses.tu engouffre ma queue en m 'é cartelant ta bouche.elle est si grosse!quelle é direction!tu avale que la moiti é.alors, du plat de ta langue, tu État d'une grosse couilles; ç te fait g é mir doucement.mes couilles fr é tillent sous la pression de ta langue.tu l aime ç a.puis, tu me prends ma queue d'une main, et de l'autre, tu me caresse doucement le gland du bout de mes doigt, avril è s l'avoir bien humect é de ta salive.le petit jeu de l'ont, de mouille et de glisse.tu sens sous tes doigts la douceur sublime de ma queue gonfl é e à ê l'extr moi qui s'offre a moi.la vision de ce gland brillant et la chaleur de ma morsure dans ta main, attisent tous mes sens. tu mouille.tu trempe.ton envie de te e touché la chatte mais, "toute à cette queue.alors, tu me mets à la branler doucement.je coule encore.tu la l è che avec application.ta mouille est bonne; elle est onctueuse et sal é e. j'aimeraistu moi gicle dans la bouche.comme ç!ta belle bouche tout prendre d 'tu et tr è affaire et d é cha î ne ta passion.alors,dites - m'en mets à la pomper en cadencetu m'enfonce cette grosse queue le plus profond danston gosier é ment possible.tu ont; et plus bas, tu mouille tr è s fort ta petite chatte est toute mouill é e. tu sens ma queue, maintenant, qui glisse parfaitement dans ma bouche.jeu de coulisse.tu l'enfonce jusqu'touffement à l 'é.elle t'excite; ç un te rendre folle.tu la maladie de pompe.la maladie de pompe.ii g droits é mit mais ne peut pas.il faut que je le branle activement pour le faire gicler dans ma bouche.c'est ç un que je veux.alors, tu prends tes deux mains, tu branle sur toute la longueur circulaires dema bouchée, l'autre par mouvements sur le gland.et pour recueillir mon sperme, tu la État activement sur toute la surface du gland en le recouvrant compl è de tes l è trava vres suceuses.tu la veux dans ta bouche.tu veux tout prendre tu ne veux rien perdre de mon foutre.tu m'active avec d é cessation et application.tu branle.tu État.tu branle.tu État.é mit.je. il souffle.je g ne r é sœur pas.je l â che un long cri sonore et d é charge dans ta bouche.une gicl é e d'une pression inou ï e inonde l'arri è re ta gorge.tu tousse.tu pleure; mais de joie.anim é de spasmes,tu n'en finit pas d'inonder par saccades mon gosier.ma bouche est pleine de ce liquide blanch â tre et visqueux.il me br û le et m'enflamme.il faut que j'avale tout de moi.tu et mon amour de ma vie, tu veux tout de moi.tu me regarde stup é fait par la vision de ce spectacle et voit disparaitre peu à peu la mousse blanche de ma bouche.de ta langue, tu l è che le contour de tes l è vres,sans rien laisser perdre de mon sperme.ces bon.ces chaud.il est en toi.il te br û le.hum...comme tu es bon mon amour!mon amour de ma vie
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