La Théorie interprétative, ou Théorie du sens, que l’on appelle aussi  traduction - La Théorie interprétative, ou Théorie du sens, que l’on appelle aussi  Vietnamien comment dire

La Théorie interprétative, ou Théor

La Théorie interprétative, ou Théorie du sens, que l’on appelle aussi parfois Théorie de
l’École de Paris, repose sur un principe essentiel : la traduction n’est pas un travail sur la langue, sur les mots, c’est un travail sur le message, sur le sens. Qu’il s’agisse de traduction orale ou écrite, littéraire ou technique, l’opération
traduisante comporte toujours deux volets : COMPRENDRE et DIRE.
Il s’agit de déverbaliser, après avoir compris, puis de reformuler ou ré-exprimer, et le
grand mérite de Danica Seleskovitch et de Marianne Lederer, qui ont établi et défendu
ardemment cette théorie, est d’avoir démontré à quel point ce processus est, non seule-
ment important, mais également naturel.
Ces deux phases nécessitent évidemment, pour le traducteur, la possession d’un
certain savoir : la connaissance de la langue du texte, la compréhension du sujet, la
maîtrise de la langue de rédaction, mais aussi une méthode, des réflexes bien éduqués,
qui vont lui permettre d’adopter à l’égard du texte l’attitude qui aboutira au meilleur
résultat par la recherche d’équivalences, sans se laisser enfermer dans les simples cor-
respondances.
L’auteur s’appuie sur de nombreux exemples, techniques aussi bien que littéraires,
tirés de sa pratique professionnelle pour montrer à quel point l’opération traduisante
implique un travail de recherche du sens, suivi d’une reformulation par l’établissement
d’équivalences.
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La Théorie interprétative, ou Théorie du sens, que l'on appelle aussi parfois Théorie del'École de Paris, repose sur Liên Hiệp Quốc principe essentiel: la traduction n'est pas Liên Hiệp Quốc travail sur la langue, sur les mots, c'est un travail sur le thư, sur le sens. Qu'il s'agisse de traduction orale ou écrite, littéraire ou kỹ thuật, l'opérationtraduisante comporte toujours deux volets: COMPRENDRE et DIRE.Il s'agit de déverbaliser, après avoir compris, puis de reformuler ou ré-exprimer, et leGrand mérite de Danica Seleskovitch et de Marianne Lederer, qui ont établi et défenduardemment cette théorie, est d'avoir démontré à quel điểm ce mỏm est, không yeu -ment quan trọng, mais également naturel.CES deux giai đoạn nécessitent évidemment, pour le traducteur, la sở hữu d'unmột số savoir: la connaissance de la langue du texte, la compréhension du sujet, lamaîtrise de la langue de rédaction, mais aussi une méthode des réflexes biên éduqués,qui vont lui permettre d'adopter à l'égard du texte l'attitude qui aboutira au meilleurrésultat par la recherche d'équivalences, sans se laisser enfermer dans les simples cor-respondances.L'auteur s'appuie sur de nombreux exemples, kỹ thuật aussi biên que littéraires,tirés de sa pratique professionnelle đổ montrer à quel điểm l'opération traduisanteimplique un travail de recherche du sens, suivi d'une reformulation par l'établissementd'équivalences.
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La Théorie interprétative, ou Théorie du sens, que l’on appelle aussi parfois Théorie de
l’École de Paris, repose sur un principe essentiel : la traduction n’est pas un travail sur la langue, sur les mots, c’est un travail sur le message, sur le sens. Qu’il s’agisse de traduction orale ou écrite, littéraire ou technique, l’opération
traduisante comporte toujours deux volets : COMPRENDRE et DIRE.
Il s’agit de déverbaliser, après avoir compris, puis de reformuler ou ré-exprimer, et le
grand mérite de Danica Seleskovitch et de Marianne Lederer, qui ont établi et défendu
ardemment cette théorie, est d’avoir démontré à quel point ce processus est, non seule-
ment important, mais également naturel.
Ces deux phases nécessitent évidemment, pour le traducteur, la possession d’un
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maîtrise de la langue de rédaction, mais aussi une méthode, des réflexes bien éduqués,
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résultat par la recherche d’équivalences, sans se laisser enfermer dans les simples cor-
respondances.
L’auteur s’appuie sur de nombreux exemples, techniques aussi bien que littéraires,
tirés de sa pratique professionnelle pour montrer à quel point l’opération traduisante
implique un travail de recherche du sens, suivi d’une reformulation par l’établissement
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