Le ciel sentait l'orage.Une chaleur étouffante embaumait la pièce.Au l traduction - Le ciel sentait l'orage.Une chaleur étouffante embaumait la pièce.Au l Français comment dire

Le ciel sentait l'orage.Une chaleur


Le ciel sentait l'orage.
Une chaleur étouffante embaumait la pièce.
Au loin un cri de colère résonna,
la terre se disputait avec les nuages assombris.
Je gisais sur le lit,
défait,
défaite de mon corps abandonné au bien-être des draps.
Ils étaient encore imprimés et chantaient la louange de notre nudité.
Attirée par un grondement lointain, je me dirigeai vers le balcon.
Par la porte-fenêtre entrouverte, le vent élevait une voix maussade, mais la tentation de l'orage était là, attirante.
Je me faufilai à l'extérieur, enchantée de visualiser cette colère qui grondait au loin.
Petit à petit, elle semblait vouloir se rapprocher, se faufiler, se substituer à la légèreté de la nuit.
La fournaise accumulée des jours précédents allait probablement disparaître,
dispersée par les larmes d'ivresse du tonnerre.
Il faisait encore très chaud, la tenue d'Eve m'enveloppait de ses bras.
Une peau blanche dans la nuit noire.
Les éclairs commencèrent leur cheminement, entamant un ballet,
accrochant les branches de lumière éclatante.
Je m'accoudai à la balustrade,
me grisant du bruit, des zébrures et des cliquetis de ce ciel trop sombre.
Dans un coup d'éclat, il apparut derrière moi,
venant à son tour profiter du spectacle,
du mien,
de celui de l'orage.
La pluie commençait à picorer nos peaux,
La moiteur, la transpiration, la chaleur enveloppaient nos deux corps.
Il me chuchota doucement à l'oreille :
" -tu es aussi belle que l'orage....et ta peau respire le goût d'une fleur d'été détrempée"
Ces doux mots résonnèrent dans mon coeur.
Il m'enserra de plus près, son corps flirtant avec le mien,
Ses mains se posèrent doucement sur mes épaules, m'approchèrent de lui.
Nos langues se cherchaient, s'éloignaient, plongeaient dans l'abîme secret de la bouche de l'autre.
C'étaient bon, mais j'avais soif,
j'ouvris la bouche, cueillant les gouttes une à une dans l'ondée.
Il me retourna, et se plaqua contre mon dos,
il commença à se frotter contre mes fesses, les écartant au passage,
Il savait ce qui me fait vibrer, ce qui fait monter en moi le désir.
Notre petit jeu de peau continua, s'accentua,
il s'évertua à ma rassurer quant au risque de l'orage,
nul.
Nos deux corps se mouvaient, lentement,
langoureusement, face au jardin qui commençait à sérieusement s'humidifier.
De ses bras il me faisait un rempart,
salvateur par rapport au temps légèrement déchaîné.
Avec ses jambes, il resserra les miennes,
au lieu de les écarter.
Il passa sa main dans mon entrejambe,
découvrant du bout des doigts une intimité humectée par l'envie de lui.
Plus il m'enserrait de ses jambes,
plus il forçait le passage entre mes cuisses,
avec sa main d'abord,
pour ensuite m'aborder avec le sexe.
Il était toujours positionné derrière moi,
gavant mon cou de baisers tranchants.
me mordillant l'épaule,
y gravant les dents,
ajustant aussi tout contre le galbe des mes fesses, son bassin.
Je sentais aussi l'enflure de son sexe durci d'excitation.
Il était collé à moi,
l'orage lointain augmentait encore notre chaleur,
ma moiteur,
notre désir.
Il finit par faire pénétrer son sexe entre mes cuisses.
Mon vagin rugissait de son envie,
mais il se gardait bien d'y céder.
Il resserra encore les jambes,
commençant un va-et-vient entre la chaleur serrante de mes cuisses.
Il se releva un peu,
de manière à permettre le frottement de son sexe entre mes lèvres,
et sur mon clitoris.
Il me mettait " le feu ",
dissipait ma crainte de l'orage qui se rapprochait dangereusement.
La petite pluie avait fait place à une grosse averse maintenant.
De ses mains il resserrait mes cuisses,
profitant ainsi du serrement obtenu.
C'était délicieux, cette façon de faire l'amour sans pénétration.
Il accéléra ses mouvements,
mais ne céda à la facilité de la jouissance à aucun moment.
Je sentais monter en moi l'envie d'abandon extrême,
il le sentit aussi parce qu'il cessa net,
il se retira de l'étroit passage échauffé.
Je ne saurais pas dire combien il m'a surprise en s'ôtant de la sorte,
mais il l'avait fait,
me laissant pantelante de désir.
Je me retournai vers lui, le toisant d'un regard surpris ou étonné.
Je le suppliais des yeux de " m'achever ".
Il continuait à me regarder,
le sexe fièrement dressé vers le ciel sombre,
la pluie continuait à nous mouiller,
l'envie persistait à m'humidifier.
Il arrivait parfaitement à se dominer,
à me dominer.
Alors il me sourit et me dit une nouvelle fois :
" que tu es belle, surtout quand tu es à la limite de l'orgasme... "
Je ne sus que lui répondre, d'ailleurs qu'aurais-je pu dire d'autre que le stupide " encore! "?
Il m'agrippa, me souleva.
J'enserrai ses hanches de mes jambes.
La pluie commença à nous inonder,
les flashs continuaient de crépiter tout autour de nous,
mais nous n'en faisions fi.
Nos corps collaient l'un à l'autre.
Il m'accouda aux claustras.
Brrrrr je frissonnai.
J'avais un peu froid maintenant mais j'avais aussi peur qu'il ne me lâche et me fasse tomber un étage plus bas, dans l'allée du garage.
Les frissons faisaient s'ériger mes mamelons,
il en profita pour les titiller du bout de la langue,
les mordillant sournoisement.
Ses mains me tenaient fermement.
Il me fit coulisser légèrement vers l'avant,
tentant de pénétrer mon antre.
La faufilade se fit doucement, mais fermement.
Son sexe épousait parfaitement mon vagin.
J'étais d'abord agrippée à lui, à ses bras mais petit à petit la confiance revint et tandis qu'il m'aidait à monter et descendre sur son sexe bandé, je faufilai ma main vers mon bouton de fleur.
Il était encore gonflé du frottement opéré précédemment,
mes lèvres étaient écartées, par l'envie,
par l'engouement qu'il mettait dans ses mouvements.
Cette fois, il ne m'empêcherait pas de me satisfaire,
d'un côté ou de l'autre,
ou des deux consécutivement.
Et cet orage...
qui est toujours là,
qui illumine nos traits à chaque éclair.
Mes doigts frottent, titillent le capuchon,
décochent des petits pics sur lui.
Ils tournoient, satisfaisant un désir encore inassouvi.
Et dans le grondement effrayant, mon corps jouit,
mes lèvres se resserrent,
mon vagin entame une contraction involontaire et si délicieuse.
Mon homme sent cette jouissance au plus profond de nous deux,
lui autour de sa hampe,
les vagues du plaisir partent du clitoris vers le vagin,
tout ondule autour de moi,
j'en perds la notion du temps,
de mes soupirs,
de nos cris.
Les mouvements de ses reins commencent à s'impatienter,
j'ai toujours le vagin légèrement contracté de mon orgasme clitoridien.
Mais je suis ravie de cette sensation extrêmement envahissante.
Il persiste dans la régularité, m'aider à monter,
à descendre, à coulisser sur son sexe.
Tout s'accélère,
tout se resserre.
Je me sens tomber dans l'abîme du plaisir,
mon entrejambe prend feu,
jouissante,
dégoulinante de pluie, de sécrétions d'envie.
Je le sens jouir à son tour,
j'imagine son sexe libérant le sperme révélateur du plaisir intense.
Nos corps se contractent ensemble,
nos cris s'unissent,
enfin,
la communion de deux êtres en parfait accord.
L'orage fait rage autour de nous,
le froid des claustras me pénètre à son tour.
Mes fesses sont froides mais je suis chaude,
d'amour,
de tendresse,
de bonheur ,
d'ivresse.
Trempés mais repus nous regagnons la chambre.
Je me faufile dans une robe de chambre,
m'allonge sur les draps,
et tente de rétablir le contact avec la réalité,
mon corps s'assoupit, ne faisant plus qu'un avec la volupté de l'accueil du lit conjugal.
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Le ciel sent l'orage.Une chaleur étouffante embaumait la pièce.Au loin un cri de colère résonna, la terre se disputait avec les nuages assombris.Je gisais sur le lit,défait,défaite de mon corps abandonné au bien-etre des draps.Ils étaient encore imprimés et chantaient la louange de notre nudité.Attirée normale un grondement lointain, je me dirigeai vers le balcon.Par la porte-fenêtre entrouverte, le vent élevait une voix maussade, mais la tentation de l'orage était là, attirante.Je me faufilai à l'extérieur, enchantée de visualisateur cette colère qui grondait au loin.Petit à petit, elle semblait vouloir se très, se faufiler, se substituer à la légèreté de la nuit.La fournaise accumulée des jours précédents allait probablement disparaître,dispersée par les larmes ivresse du tonnerre.Il faisait encore très chaud, la tenue d'Eve m'enveloppait de soutiens-gorge de SSE.Une peau blanche dans la nuit noire.Les éclairs commencèrent leur cheminement, entamant ballet de Nations Unies,accrochant les branches de lumière l'éclatante.Je m'accoudai à la balustrade, me grisant du bruit, des zébrures et des cliquetis de ce ciel trop sombre.Dans un coup d'éclat, il apparut derrière moi,venant à son tour profiter du spectacledu mien,de celui de l'orage.La pluie commençait à picorer nos peaux, La moiteur, la transpiration, la chaleur enveloppaient corps deux d'amendements.Il me chuchota doucement à l'oreille :« - tu es aussi belle que l'orage... et ta peau respire le goût d'une fleur d'été détrempée »Ces doux mots résonnèrent dans mon coeur.De m'enserra il plus près, son corps flirtant avec le mien, Ses mains se posèrent doucement sur mes épaules, m'approchèrent de lui.Nos langues se cherchaient, s « éloignaient, plongeaient dans l » abîme secrète de la bouche de l'autre.C'étaient bon, mais j'avais soif,j'ouvris la bouche, cueillant les gouttes une à une dans l'ondée.Il me retourna, et se plaqua contre dos Lun,Il commença à se frotter contre mes fesses, les écartant passage d'UA,Il savait ce qui me fait vibrer, ce qui fait monter en moi le désir.Notre petit jeu de peau continua, s'accentua,Il s'évertua à ma rassurer quant au risque de l'orage,nul.Nos deux corps se mouvait, lentement,langoureusement, face au jardin qui commençait à would s'humidifier.De soutiens-gorge de ses il me faisait un rempart,salvateur par rapport au temps légèrement déchaîné.Avec jambes de SSE, il resserra les miennes,au lieu de les écarter.Il passa sa main dans mon entrejambe,découvrant du bout des doigts une intimité humectée par l'envie de lui.Plus de jambes SSE de il m'enserrait de,plus les cuisses de mes d'il forçait le passage entre,avec sa principale abord,Versez ensuite m'aborder avec le sexe.Il était toujours positionné derrière moi,gavant mon cou de baisers tranchants.me mordillant l'épaule,y gravant les bosselures,ajustant also tout contre le galbe des mes fesses, bassin de fils.Je sentais aussi l'enflure de fils sexe durci d'excitation.Il était collé à moi,l'orage lointain augmentait encore notre chaleur,ma moiteur,notre désir.Il finit par faire pénétrer son sexe entre mes cuisses.Mon vagin rugissait de fils envie,mais il se gardait bien d'y céder.Jambes les de Il resserra encore,XXIX un va-et-vient entre la chaleur serrante de mes cuisses.Il se releva un peu,de manière à permettre le frottement de son sexe entre mes lèvres, et clitoris LUN sur.Il me mettait « le feu »dissipait ma crainte de l'orage qui se rapprochait dangereusement.La petite pluie avait fait place à une grosse averse maintenant.Cuisses de mes de ses mains il resserrait,profitant ainsi du serrement obtenu.C'était délicieux, cette façon de faire l'amour sans pénétration.Il accéléra ses mouvements,mais ne céda à la facilité de la jouissance à aucun moment.Je sentais monter en moi l'envie extrême abandon,il le sentit aussi parce qu'il cessa net,Il se retira de l'étroit passage échauffé.Je ne saurais pas dire combien il m'a surprise en s'ôtant de la sorte,mais il fait de l'avait,me laissant pantelante de désir.Je me retournai vers lui, le toisant d'un égard supris ou étonné.Je le suppliais des yeux de « m'achever ».Il continuait à me regarder,le sexe fièrement prostrate vers le ciel sombre,la pluie continuait à nous mouiller,l'envie persistait à m'humidifier.Il arrivait parfaitement à se dominer,à me dominer.Alors il me sourit et me dit une nouvelle fois :"que tu es belle, surtout quand tu es à la limite de l'orgasme... "Je ne sus que lui répondre, d'ailleurs qu'aurais-je pu dire d'autre que le stupide « encore! » ?Il m'agrippa, me souleva.J'enserrai ses hanches de mes jambes.La pluie commença à nous inonder,les flashs continuaient de crépiter tout autour de nous,mais nous n'en faisions fi.Nos corps collaient un à l'autre.Il m'accouda aux claustras.Brrrrr je frissonnai.J'avais un peu froid maintenant mais j'avais aussi peur qu'il ne me lâche et me fasse tomber un étage plus bas, dans l'allée du garage.Les frissons faisaient s'ériger mes mamelons,Il en profita versez les titiller du bout de la langue,les mordillant sournoisement.Secteur de ses me tenaient fermement.Il me fit coulisser légèrement vers l'avant, tentant de pénétrer antre de LUN.La faufilade Monter doucement, mais fermement.Fils sexe épousait parfaitement mon vagin.J'étais d'abord agrippée à lui, à ses bras mais petit à petit la confiance revint et Fred qu'il m'aidait à monter et descendre sur son sexe Festival, je faufilai ma principale vers mon bouton de fleur.Il était encore gonflé du frottement opéré précédemment,mes lèvres étaient écartées, par l'envie,par l'engouement qu'il mettait dans ses mouvements.Cette fois, il ne m'empêcherait de pas me satisfaire,d'un côté ou de l'autre,unité d'organisation des deux consécutivement.Et cet orage...qui est toujours là,qui illumine nos traits à chaque éclair.Mes doigts frottent, titillent le capuchon,décochent des petits pics sur lui.Ils tournoient, satisfaisant un désir encore inassouvi.Et dans le grondement effrayant, mon corps jouit,mes lèvres se resserrent, mon vagin entame une contraction involontaire et si délicieuse.Mon homme a envoyé cette jouissance au plus profond de nous deux,lui autour de sa hampe,les vagues du plaisir partent du clitoris vers le vagin,tout ondule autour de moiJ'en perds la notion du tempsde mes telles,de nos cris.Les mouvements de ses rênes commencent à s'impatienter,J'ai toujours le vagin légèrement contracté de mon orgasme clitoridien.Mais je suis ravie de cette sensation Kunststof envahissante.Il persiste dans la régularité, m'aider à monter,à descendre, à coulisser sur son sexe.Tout s'accélère,tout se resserre.Je me sens tomber dans l'abîme du plaisir,mon entrejambe prend feu,jouissante,dégoulinante de pluie, de sécrétions envie.Je le sens jouir à tour de fils, J'imagine son sexe libérant le sperme révélateur du plaisir intense.Nos corps se contractent ensemblenos cris s'unissent,Enfin,la communion de deux êtres en parfait accord.L'orage fait rage autour de nous,le froid des claustras me pénètre à tour de fils.Mes fesses b ' sont froides mais je suis chaude,d'amour,de tendresse,de bonheur, ivresse.Trempés mais repus nous regagnons la chambre.Je me faufile dans une robe de chambre,m'allonge sur les draps,et tente de rétablir le contact avec la réalité,mon corps s'assoupit, en ne faisant plus qu'un avec la volupté de l'accueil du lit conjugal.
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Le ciel sentait l'orage.
Une chaleur étouffante embaumait la pièce.
Au loin Un cri de colère résonna,
la terre se disputait Avec les nuages ​​assombris.
Je gisais sur le lit,
défait,
défaite de mon corps abandonné au bien-être des draps .
ILS ÉTAIENT encore imprimés et chantaient la louange de Notre nudité.
Attirée par l'ONU grondement lointain, je me dirigeai vers le balcon.
Par la porte-fenêtre entrouverte, le vent élevait Une voix maussade, Mais la tentation de l'orage Était là, attirante.
Je me faufilai à l'extérieur, enchantée de visualiseur this colère grondait au loin Qui.
Petit à petit, Elle semblait se rapprocher Vouloir, se faufiler, SE substituer choix à la légèreté de la nuit.
La Fournaise accumulée Des jours des précédents Allait Probablement Disparaître,
dispersée par les larmes d'ivresse du tonnerre.
Il faisait encore très chaud, la tenue d'Eve m'enveloppait de Ses soutiens-gorge.
Une peau blanche dans la nuit noire.
Les éclairs commencèrent Leur cheminement, le ballet de l'ONU entamant,
accrochant les branches de lumière éclatante.
Je m'accoudai à la balustrade,
me grisant du bruit, des zébrures et des cliquetis de CE ciel trop sombre.
Dans coup d'éclat de l'ONU, il apparut derrière moi,
venant à tour fils Profiter du spectacle,
du mien,
de Celui de l'orage.
La pluie commençait à picorer nos peaux,
La moiteur, la transpiration, la chaleur enveloppaient nos deux corps.
Il me chuchota doucement à l'oreille:
"-tu es also belle Que l'orage. ... et ta peau respire le goût d'une fleur d'été détrempée "
CES doux mots résonnèrent Dans mon coeur.
Il m'enserra de plus de près, fils corps flirtant Avec le mien,
secteur Ses soi posèrent doucement sur ​​mes épaules, m'approchèrent de lui.
Nos langues se cherchaient, s'éloignaient, plongeaient Dans l'abîme secrète de la bouche de l'Autre.
C'étaient bon, Mais Je avais soif,
j'ouvris la bouche, cueillant les gouttes juin À une Dans l'ondée.
Il me retourna, et se plaqua contre dos communs,
il commenca à se frotter contre mes fesses, les écartant au passage,
Il CE Savait Qui me fait vibrer, Ce Qui fait monter en moi le désir.
Notre petit jeu de peau continua, s'accentua,
il s'évertua à ma rassurer quant au osée de l'orage,
nul.
Nos deux corps se mouvaient, Lentement,
langoureusement, le visage au jardin Qui commençait à s'humidifier Sérieusement.
De SES soutiens-gorge il me faisait rempart de l'ONU,
salvateur par rapport au temps légérement déchaîné.
Avec SES jambes, IL resserra les miennes,
au lieu de les Ecarter.
Main dans mon entrejambe SA Il passa,
découvrant du bout des doigts Une intimité humectée par l'envie de lui.
plus IL m'enserrait de Ses Jambes,
plus IL forçait Le passage de mes Entre Cuisses,
Avec sa principale D'ABORD,
verser salle de m'aborder Avec le sexe.
Il était Toujours positionné derrière moi,
Gavant Mon cou de baisers Tranchants .
me mordillant l'épaule,
y gravant les bosses,
ajustant also tout contre le galbe des fesses mes fils bassin.
Je sentais also l'enflure de fils sexe durci d'excitation.
Il était collé à moi,
l'orage lointain augmentait Encore Notre chaleur,
ma moiteur,
Notre désir.
de Il en finit PAR faire penetrer fils sexe Entre mes cuisses.
Mon vagin rugissait de fils envie,
Mais il se gardait bien d'y céder.
Il resserra encore les jambes,
commençant l'ONU va-et- Vient Entre la chaleur de mes cuisses serrante.
Il se releva un peu,
de Manière à permettre le frottement de mes fils de sexe Entre lèvres,
et sur ​​mon clitoris.
Il me mettait "le feu",
ma dissipait Crainte de l'orage Qui se rapprochait dangereusement.
La petite pluie Avait fait place à grosse juin aversion Maintenant.
De SES secteur il resserrait mes cuisses,
profitant AINSI du serrement Obtenu.
Ce était délicieux, this Façon de faire l'amour sans pénétration.
Il Accelera SES mouvements,
Mais NE CEDA choix à la facilité de La jouissance d'un moment Aucun.
Je sentais monter en moi l'envie d'abandonner extrêmes,
IL Le Sentit also Parcé Qu'il CESSA net,
IL SE retira de l'étroit passage. Échauffé
pas de Saurais ne JE dire Combien il M'a la surprise en s'ôtant de la Sorte,
Mais il l'Avait fait,
me laissant pantelante de désir.
Je me retournai vers lui, le toisant d'un regard Surpris ous Etonné.
Je le suppliais des yeux de "m'achever".
Il continuait à me regarder,
le sexe fièrement dressé vers le ciel sombre,
la pluie continuait À nous mouiller,
l'envie persistait à m'humidifier.
Il arrivait Parfaitement à se dominer,
à me dominer.
Alors il me sourit et me dit Une nouvelle Fois:
"que belle, redingote Quand es tu tu es à la limite de l'orgasme ..."
Je ne sus Que lui Répondre, d'ailleurs qu'aurais-je pu dire d'Autre Que le stupide "encore! »?
Il m'agrippa, me souleva.
J'enserrai SES hanches de mes jambes.
La pluie commenca à inonder nous,
les flashs continuaient de crépiter Tout autour de nous,
Nous Mais ne en faisions fi.
Nos corps collaient l'ONU à L'Autre.
Il m'accouda aux claustras.
Brrrrr je frissonnai.
Je avais un peu froid Maintenant Mais also Je avais peur Qu'il ne me lâche et me Fasse tomber étage, plus bas de l'ONU, Dans l'allée du garage .
Les frissons faisaient s'ériger mes mamelons,
il en Profita versez les titiller du bout de la langue,
les mordillant sournoisement.
Ses me tenaient fermement alimentation secteur.
Il me vont coulisser vers l'avant légérement,
Tentant de penetrer mon antre.
La faufilade SE doucement forme, Mais fermement.
Son sexe épousait Parfaitement mon vagin.
Je étais D'ABORD agrippée à lui, à Bras SES Mais petit à petit la confiance revint et TANDIS Qu'il m'aidait à monter et Descendre sur fils sexe bandé , principales vers je faufilai MA MON bouton de fleur.
Il était encore gonflé du frottement Opere précédemment,
mes lèvres ÉTAIENT écartées, par l'envie,
Par l'engouement Qu'il mettait Dans SES mouvements.
Cette Fois, il ne m'empêcherait pas de me Satisfaire,
D'UN OU côté de l'autre,
ous des Deux consécutivement.
Et CET orage ...
Qui est Toujours là,
les traits de Qui Illumine Ë each éclair.
Mes doigts frottent, titillent le capuchon,
décochent des petits les photos sur lui.
ILS tournoient, satisfaisant non désir encore inassouvi.
Et DANS LE grondement effrayant, mon corps jouit,
mes lèvres se resserrent,
mon vagin entame Une contraction involontaire et si délicieuse.
Mon homme envoyé This au bons de jouissance, plus profond de nous deux,
Autour de lui sa hampe,
les vagues du plaisir partent UA vers le clitoris vagin,
tout ondule Autour de moi,
je en perds la notion du Temps,
de mes soupirs,
de nos cris.
Les mouvements de Ses rênes Commencent à s'impatienter ,
je ai toujours le vagin légérement contracté de mon orgasme clitoridien.
Mais je suis ravie of this sensation Extrêmement envahissante.
Il Persiste Dans la Régularité, me aider à monter,
à Descendre, à coulisser sur fils sexe.
Tout s'accélère,
Tout se resserre.
Je me sens tomber Dans l'abîme du plaisir,
mon entrejambe Prend feu,
jouissante,
dégoulinante de pluie, de sécrétions d'envie.
Je le Sens jouir à tour de fils,
fils je imagine sexe libérant le sperme du révélateur plaisir intense.
Nos corps se contractent ensemble,
nos cris s'unissent,
enfin,
la communion de deux Êtres en parfait accord.
L'orage fait rage Autour de nous,
le froid des claustras me pénètre un fils tournée.
Mes fesses are froides Mais je suis chaude,
d'amour,
de tendresse,
de bonheur,
d'ivresse.
Trempes Mais repus Nous regagnons la chambre.
Je me faufile Dans Une robe de chambre,
m'allonge sur les draps,
et tente de le contacter Rétablir Avec la Réalité,
mon corps s'assoupit, ne Faisant Plus Qu'un Avec la volupté de l'accueil du conjugale éclairé.
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Le ciel sentait l'orage.
Une chaleur étouffante embaumait la pièce.
ua longe un cri de colère résonna,
la terre se disputait avec les nuages gisais assombris.
Jérôme sur le lit défait,
,
défaite de mon corps abandonné au bien-être des rideaux.
Ils were imprimés et chantaient encore la louange de notre nudité.
grondement lointain attirée par l'ONU, je me dirigeai vers le balcon.
Par la porte-fenêtre entrouverte, le vent maussade élevait une voix, mais la tentation de l'orage était là, attirante.
Je me faufilai à l'extérieur, enchantée de visualizer this colère qui grondait ua longe.
petit à petit, elle semblait vouloir se rapprocher, se faufiler, se substituer à la légèreté de la nuit.
La fournaise accumulée des jours précédents allait probablement disparaître,
Dispersée par les larmes d'ivresse du tonnerre.
Il faisait encore très chaud, la tenue d'Eve m'enveloppait de ses bras.
Une peau blanche dans la nuit noire.
Les éclairs entamant commencèrent leur cheminement, ONU,
accrochant ballet les branches de lumière éclatante.
Je m'accoudai à la balustrade,
moi grisant du bruit, des zébrures et des cliquetis de ce ciel trop sombre.
Dans un coup d'éclat,Il apparut derrière moi,
venant à son tour profiter du spectacle,
du mien,
de celui de l'orage.
La pluie commençait à picorer nos peaux,
La moiteur, la transpiration, la chaleur enveloppaient nos deux corps.
Il me doucement chuchota à l'oreille :
" -tu es also belle que l'orage....et ta peau respirent le goût d'une fleur d'été détrempée"
SCE doux mots résonnèrent dans mon coeur.
Il m'enserra de plus près, fils flirtant avec le mien de corps,
doucement se posèrent secteur sse sur mes épaules, m'approchèrent de lui.
Nos langues se cherchaient, s'éloignaient, plongeaient dans l'abîme secret de la bouche de l'autre.
C'were bon, mais j'avais soif,
j'ouvris la bouche, cueillant les gouttes une à une dans l'ondée.
Il me plaqua retourna, et se contre mon dos,
Il commença à se frotter contre mes fesses, écartant des ERP au passage,
il savait ce qui me fait vibrer, ce qui fait stand en moi le désir.
notre petit jeu de peau, s'accentua continua,
il s'évertua à ma rassurer quant au risque de l'orage,
nul.
Nos deux corps se mouvaient, lentement,
langoureusement, face au jardin qui sérieusement commençait à s'humidificateur.
de ses bras il me faisait un rempart,
Salvateur par rapport au temps légèrement déchaîné.
with its de jambes, il resserra les miennes,
au lieu de les écarter.
Il passa sa main dans mon découvrant entrejambe,
du bout des doigts une intimité humectée par l'envie de lui.
plus il m'enserrait de ses jambes,
plus il forçait le passage entre mes cuisses,
avec sa main-d'abord,
pour ensuite m'aborder with the gender.
Il était toujours positionné derrière moi,
gavant mon cou de baisers mordillant tranchants.
me l'épaule,
y gravant les bosses,
ajustant also tout contre le galbe des mes fesses, fils du bassin.
Jérôme sentais also l'enflure de fils sexe durci d'excitation.
Il était collé à moi,
l'orage lointain augmentait encore notre chaleur,
ma moiteur,
notre désir.
Il finit par faire pénétrer fils sexe entre mes cuisses.
mon vagin rugissait de fils envie,
mais il se gardait bien d'y céder.
il resserra encore les jambes,
commençant un va-et-vient entre la chaleur serrante de mes cuisses.
Il se releva un peu,
de manière à permettre le frottement de fils sexe entre mes lèvres,
et sur mon clitoris.
Il me mettait " le feu ",
Dissipait ma crainte de l'orage qui se rapprochait dangereusement.
La petite pluie avait fait place à une grosse en aversion maintenant.
of its resserrait mes cuisses secteur he,
serrement profitant ainsi du obtenu.
C'était délicieux, cette façon de faire l'amour sans pénétration.
Il accéléra ses mouvements,
mais ne céda à la ease de la jouissance à aucun moment.
Jérôme sentais stand en moi l'envie d'abandonner extrême,
il sentit le also parce qu'il cessa net,
il se retira de l'étroit passage échauffé.
Je ne saurais fe dire combien il m'a surprise fr s'ôtant de la sorte,
mais il l'avait fait,
me laissant pantelante de Harlem Désir.
Je me retournai LVE en lui, le toisant d'un regard étonné supris uo.
Je le suppliais des yeux de " m'achever ".
Il continuait à me regarder,
le sexe fièrement dressé vers le ciel sombre,
la pluie continuait à nous mouiller,
l'envie persistait à m'humidificateur.
he parfaitement arrivait à se dominer,
à me dominer.
Alors il me sourit et me dit une nouvelle fois :
" que tu es belle, surtout quand tu es à la limite de l'orgasmes... "
je ne sus que lui répondre,D'ailleurs qu'aurais-je pu dire d'autre que le stupide " encore! "?
Il m'agrippa, me souleva.
J'hanches enserrai sse de mes jambes.
La pluie commença à nous inonder,
les flashs crépiter continuaient de tout autour de nous,
mais nous n'en faisions fi.
collaient nos corps l'un à l'autre.
Il m'accouda claustras.
Brrrrr auxiliaire Jérôme frissonnai.
J'avais un peu froid maintenant mais j'avais also peur qu'il ne lâche-moi et me fasse tomber ONU étage plus bas, dans l'allée du garage.
Les frissons faisaient s'ériger mes mamelons,
il fr re pour les titiller du bout de la langue,
mordillant sournoisement des ERP.
me secteur tenaient fermement sse.
Il me monter légèrement coulisser vers l'avant,
tentant de pénétrer mon antre.
La faufilade se monter doucement, mais fermement.
Fils sexe parfaitement mon vagin épousait.
J'étais d'abord agrippée à lui, to its bras mais petit à petit la confiance revint et tandis qu'il m'aidait à stand et descendre sur son sexe faufilai bandé, Jérôme ma lve principal mon bouton de fleur.
Il était encore gonflé du frottement précédemment opéré,
mes lèvres were by the, écartées envie,
Par l'engouement qu'il mettait dans ses mouvements.
this time, il ne m'empêcherait pas de me satisfaire,
d'un côté ou de l'autre,
ou des deux consécutivement.
et cet orage...
qui est toujours là,
that traits du nos à chaqueño éclairer d'éclairs.
mes doigts titillent frottent, le capuchon,
décochent des petits pics sur lui.
ils tournoient, satisfaisant ONU désir inassouvi encore.
And the grondement effrayant, mon corps jouit,
mes lèvres se resserrent,
mon vagin entame une contraction involontaire et si délicieuse.
Mon homme envoyé this jouissance au plus profond de nous deux,
lui autour de sa hampe,
les vagues du plaisir partent du clitoris vers le vagin,
tout ondulé autour de moi,
j'en perds la notion du temps,
de mes soupirs,
de nos cris.
Les mouvements de ses rênes commencent à s'impatienter,
j'ai toujours le vagin légèrement contracté de mon orgasmes clitoridien.
mais je suis ravie de cette sensation extremely persiste envahissante.
He dans la régularité, m'aider à descendre stand,
à, à coulisser sur son sexe.
Tout s'accélère,
tout se resserre.
Je me sens tomber dans l'abîme du plaisir,
entrejambe prend feu, mon
jouissante,
Dégoulinante de pluie, de sécrétions d'envie.
Je le sens jouir à son tour,
j'imagine fils sexe révélateur libérant the semen du plaisir intense.
Nos corps se contractent ensemble,
nos cris s'unissent,
finally,
la communion de deux êtres en parfait accord.
L'orage fait rage autour de nous,
le froid des claustras moi pénètre à son tour.
mes fesses sont froides mais je suis chaude,
d'amour,
De tendresse,
de bonheur ,
d'ivresse.
repus trempés mais nous regagnons la chambre.
Je me faufile dans une robe de chambre,
m'allonge sur les rideaux,
et tente de rétablir le contact avec la réalité,
mon corps s'assoupit, ne faisant plus qu'un avec la volupté de l'accueil du lit conjugal.
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