Migrant crisis: EU ministers attemp

Migrant crisis: EU ministers attempt to resolve quota row

European Union ministers are meeting to try to resolve a dispute over how to relocate 120,000 asylum seekers who have recently arrived in Europe.
Some central European states have resisted calls for EU members to accept mandatory quotas.
Whatever is decided, the UN says the EU's plans will not be enough.
The migrants are part of 500,000 to have arrived by sea this year so far. Germany says it expects at least 800,000 this year.
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The arrival of hundreds of thousands of migrants has created deep EU divisions.
Home affairs ministers meeting in Brussels on Tuesday are hoping to reach agreement which would be ratified by EU leaders on Wednesday.

Who are the 120,000?
120,000 migrants "in clear need of international protection" to be resettled from Italy, Greece, Hungary to other EU member states
15,600 from Italy, 50,400 from Greece, 54,000 from Hungary, it is unclear though how many are still in Hungary
Initial screening of asylum applicants carried out in Greece, Hungary and Italy
Syrians, Eritreans, Iraqis prioritised
Financial penalty of 0.002% of GDP for those member countries refusing to accept relocated migrants
Relocation to accepting countries depends on size of economy and population, average number of asylum applications
Transfer of individual applicants within two months


Hungary, Poland, Slovakia and the Czech Republic all oppose the idea of obligatory quotas, promoted by Germany which has accepted large numbers of migrants.
German Chancellor Angela Merkel said two weeks ago that obligatory quotas were "a first step" towards a more permanent scheme to deal with the influx.
But mandatory quotas have now been dropped, diplomats say, and a voluntary relocation scheme is now on the table.

Refugees and migrants have been walking over the border from Hungary. The young men come first, waving and asking: "Is this Austria?"
There are cheers when they are told where they are.
The families follow, a father holding the hands of his two young children, a mother carrying her baby, then a man pushing a boy in a wheelchair.
Many are from Syria - others say they are from Afghanistan, Iraq and Pakistan. Some walk to the reception centre where the Red Cross has food and clothes for them. But others go straight to the queues for the buses which will carry them away from the border.
Some apply for asylum in Austria but most say they want to go on to Germany.

Most of those arriving in the European Union are from war-torn Syria, the European Commission says.
The relocation scheme would prioritise migrants recognised as "in need of international protection" - those from Syria, Eritrea and Iraq, according to EU data.
The 120,000 would be transferred from Hungary, Greece and Italy - the states where most migrants have been entering the European Union.
The UK, under an opt-out, would not be part of the relocation scheme but has already agreed to take 20,000 migrants directly from countries bordering Syria over the next five years.
The Irish Republic and Denmark, with similar opt-outs, have agreed to take part in the EU scheme.

The UN Refugee Agency has warned that the relocation scheme will be insufficient given the large numbers arriving in Europe.
"A relocation programme alone, at this stage in the crisis, will not be enough to stabilise the situation," spokeswoman Melissa Fleming said.
The number of those needing to be relocated will probably need to be revised upwards significantly, she said.
Newcomers continued arriving in southern Europe on Tuesday in the hope of making their way north to Germany and Scandinavia.
Hundreds are crossing the Hungarian border into Austria - and about 4,000 are reaching the Greek island of Lesbos every day.


A note on terminology: The BBC uses the term migrant to refer to all people on the move who have yet to complete the legal process of claiming asylum. This group includes people fleeing war-torn countries such as Syria, who are likely to be granted refugee status, as well as people who are seeking jobs and better lives, who governments are likely to rule are economic migrants.

Résultats (Français) 1:

Crise de migrants : ministres de l'UE tentent de résoudre ligne quotaMinistres de l'Union européenne sont réunissent pour tenter de résoudre un différend sur la façon de déplacer 120 000 demandeurs d'asile qui sont arrivés récemment en Europe.Certains États d'Europe centrales ont résisté à des appels à des membres de l'UE d'accepter des quotas obligatoires.Tout ce qui est décidé, l'ONU affirme que les plans de l'UE ne sera pas suffisant.Les migrants font partie des 500 000 d'arriver par la mer cette année jusqu'à présent. Allemagne, qu'il s'attend au moins 800 000 cette année.Suivez les mises à jour sur notre page Webcam liveL'arrivée de centaines de milliers de migrants a créé de profondes divisions EU.Des ministres réunis à Bruxelles Mardi espèrent un accord qui pourrait être ratifié par les dirigeants de l'UE mercredi.Qui sont les 120 000 ?120 000 migrants « en effacer la nécessité d'une protection internationale » d'être réinstallées d'Italie, Grèce, Hongrie aux autres membres de l'UE déclare15 600 de 50 400 de 54 000 de la Hongrie, la Grèce, l'Italie, on ne sait pas si la façon dont beaucoup sont encore en HongriePrésélection des demandeurs d'asile menée en Grèce, en Hongrie et ItalieIrakiens syriens, érythréens, une prioritéSanction pécuniaire de 0,002 % du PIB pour les pays refusant d'accepter les migrants délocaliséesDéménagement à accepter des pays dépend de la taille de l'économie et la population, le nombre moyen de demandes d'asileTransfert des demandeurs individuels dans les deux moisHongrie, Pologne, Slovaquie et République tchèque, s'opposent à l'idée de quotas obligatoires, promu par l'Allemagne qui a accepté un grand nombre de migrants.La chancelière allemande Angela Merkel a déclaré il y a deux semaines que les quotas obligatoires étaient « un premier pas » vers un régime plus permanent pour faire face à l'afflux.Mais des quotas obligatoires ont maintenant été abandonnées, diplomates disent, et un système de réinstallation volontaire est maintenant sur la table.Réfugiés et les migrants ont été marcher sur la frontière de la Hongrie. Les jeunes hommes viennent en premier, ondulant et demandant: « Est ce Autriche? »Il y a bientôt quand on leur dit où ils se trouvent.Les familles s'ensuit un père tient entre les mains de ses deux jeunes enfants, une mère portant son bébé, puis un homme poussant un garçon dans une chaise roulante.Beaucoup proviennent de la Syrie - d'autres disent qu'ils sont de l'Irak, l'Afghanistan et le Pakistan. Certains à pied le centre d'accueil où la Croix Rouge a la nourriture et des vêtements pour eux. Mais d'autres vont directement sur les files d'attente pour les bus qui les transportera loin de la frontière.Certains demander l'asile en Autriche mais plus dire qu'ils veulent se rendre à l'Allemagne.La plupart des personnes arrivant dans l'Union européenne proviennent de Syrie déchiré par la guerre, affirme la Commission européenne.Le schéma de déplacement classeriez migrants reconnus comme « ayant besoin d'une protection internationale"- ceux de la Syrie, l'Érythrée et l'Irak, selon les données de l'UE.Les 120 000 seraient transférés de la Hongrie, la Grèce et l'Italie - les États où la plupart des migrants dans l'Union européenne.Au Royaume-Uni, en vertu d'une clause de sortie, ne serait pas inscrit dans l'économie de réinstallation mais a déjà accepté de prendre 20 000 migrants directement à partir de pays voisins de la Syrie au cours des cinq prochaines années.La République d'Irlande et le Danemark, avec dérogations similaires, ont accepté de prendre part dans le système communautaire.L'Agence des réfugiés des Nations Unies a averti que le schéma de déplacement sera insuffisant étant donné le grand nombre qui arrivent en Europe.« Un programme de réinstallation seul, à ce stade de la crise, ne suffira pas à stabiliser la situation, » porte-parole Melissa Fleming a déclaré.Le nombre de ceux qui ont besoin d'être déplacés devront sans doute être révisées à la hausse significative, dit-elle.Nouveaux arrivants a continué en arrivant dans le sud de l'Europe mardi dans l'espoir de faire leur chemin vers le Nord en Allemagne et en Scandinavie.Des centaines traversent la frontière hongroise en Autriche - et environ 4 000 atteignent l'île grecque de Lesbos, tous les jours.Une note sur la terminologie : la BBC utilise le migrant de terme pour désigner tous les peuples en mouvement qui ont pas encore achevé le processus légal de demander l'asile. Ce groupe comprend les personnes ayant fui le pays déchiré par la guerre comme la Syrie, qui sont susceptibles de bénéficier du statut de réfugié, ainsi que les personnes qui cherchent un emploi et une vie meilleure, ce qui les gouvernements risquent de règle est des migrants économiques.

Résultats (Français) 2:

Crise des migrants: les ministres de l'UE tentent de résoudre rangée de quotas. Les ministres de l'Union européenne se réunissent pour tenter de résoudre un différend sur la façon de déplacer 120.000 demandeurs d'asile qui sont récemment arrivés en Europe Certains pays d'Europe centrale ont résisté aux appels pour les membres de l'UE à accepter des quotas obligatoires. Tout ce qui est décidé, l'ONU affirme que les plans de l'UE ne sera pas suffisant. Les migrants font partie des 500.000 à être arrivé par la mer cette année jusqu'à présent. Allemagne affirme qu'il attend au moins 800 000 cette année. Suivez les dernières mises à jour sur notre page en direct l'arrivée de centaines de divisions de l'UE profondes des milliers de migrants a créé. Accueil ministres des Affaires réunion mardi à Bruxelles sont l'espoir de parvenir à un accord qui serait ratifié par Les dirigeants européens mercredi. Qui sont les 120.000? 120.000 migrants "dans le besoin évident d'une protection internationale" pour être réinstallés à partir de l'Italie, la Grèce, la Hongrie à l'autre membre de l'UE stipule 15600 de l'Italie, 50 400 de la Grèce, 54 000 en provenance de Hongrie, on ne sait pas si Combien sont encore en Hongrie dépistage initial des demandeurs d'asile effectuée en Grèce, en Hongrie et en Italie Syriens, Erythréens, Irakiens priorisés pénalité financière de 0,002% du PIB pour les pays membres qui refusent d'accepter les migrants délocalisée délocalisation vers les pays acceptant dépend de la taille de l'économie et de la population, le nombre moyen de demandes d'asile Transfert des demandeurs individuels dans les deux mois la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie et la République tchèque, tous les opposent à l'idée de quotas obligatoires, promu par l'Allemagne qui a accepté un grand nombre de migrants. La chancelière allemande Angela Merkel a déclaré deux semaines il ya que les quotas obligatoires étaient "une première étape" vers un système plus permanent pour faire face à l'afflux. Mais quotas obligatoires ont été abandonnées, les diplomates disent, et un plan de relocalisation volontaire est maintenant sur ​​la table. Les réfugiés et les migrants ont été marchant sur la frontière de la Hongrie. Les jeunes hommes viennent en premier, en agitant et en demandant: «Est-ce l'Autriche". Il ya des acclamations quand on leur dit où ils sont les familles suivent, un père tenant les mains de ses deux jeunes enfants, une mère portant son bébé, puis un . homme poussant un garçon dans un fauteuil roulant Beaucoup sont de la Syrie - d'autres disent qu'ils sont l'Afghanistan, l'Irak et le Pakistan. Certains à pied du centre de réception où la Croix-Rouge a nourriture et des vêtements pour eux. Mais d'autres vont directement vers les files d'attente pour les bus qui va les mener loin de la frontière. Certains demandent l'asile en Autriche, mais la plupart disent qu'ils veulent aller à l'Allemagne. La plupart de ceux qui arrivent dans l'Union européenne sont déchiré par la guerre en Syrie ., la Commission européenne dit Le schéma de relocalisation serait la priorité migrants reconnus comme «ayant besoin de protection internationale.» - ceux de la Syrie, de l'Érythrée et de l'Irak, selon les données de l'UE L'120.000 seraient transférés de la Hongrie, la Grèce et l'Italie - les Etats où la plupart des migrants ont fait leur entrée dans l'Union européenne. Le Royaume-Uni, en vertu d'un opt-out, ne ferait pas partie du régime de relocalisation, mais a déjà accepté de prendre 20.000 migrants directement à partir de pays limitrophes de la Syrie au cours des cinq prochaines années. La République d'Irlande et le Danemark , avec dérogations similaires, ont accepté de prendre part au programme de l'UE. L'Agence des Nations Unies pour les réfugiés a averti que le régime de réinstallation sera insuffisante étant donné le grand nombre d'arriver en Europe. "Un programme de réinstallation seul, à ce stade de la crise , ne sera pas suffisant pour stabiliser la situation ", a déclaré la porte-parole Melissa Fleming. Le nombre de ceux qui ont besoin d'être réinstallés devra probablement être revu à la hausse de manière significative, dit-elle. Les nouveaux arrivants ont continué d'arriver en Europe du Sud mardi dans l'espoir de faire leur vers le nord en Allemagne et en Scandinavie. Des centaines traversent la frontière hongroise en Autriche - et environ 4000 atteignent l'île grecque de Lesbos tous les jours. Une note sur la terminologie: La BBC utilise le terme migrant de se référer à toutes les personnes en déplacement qui ont encore achever le processus juridique de demander l'asile. Ce groupe comprend les personnes fuyant des pays déchirés par la guerre comme la Syrie, qui sont susceptibles d'être accordé le statut de réfugié, ainsi que les personnes qui cherchent une vie meilleure et d'emplois, qui les gouvernements sont susceptibles de gouverner sont des migrants économiques.

Résultats (Français) 3:

Crise migrants : les ministres de l'UE tentent de résoudre ligne contingentaire

Les ministres de l'Union européenne sont réunis pour tenter de régler un différend au sujet de la façon de déplacer 120 000 demandeurs d'asile arrivés récemment en Europe.
certains Etats d'Europe centrale ont résisté aux appels des membres de l'UE d'accepter des quotas obligatoires.
quelle que soit la décision, selon l'ONU, les plans de l'UE ne sera pas assez.
les migrants font partie des 500,