BANGKOK — Junta chairman Prayuth Ch

BANGKOK — Junta chairman Prayuth Chan-ocha said he would not be able to guarantee the safety of university lecturers who continue to criticize his military regime.

His comment came as six academics reported to police to hear charges of violating the junta’s ban on political activities for organizing a news conference last month at which they asked Gen. Prayuth’s government to respect freedom of speech.

“If they want to engage in activism or whatever, it’s up to them. If they aren’t afraid of the laws, it’s up to them. I don’t know about them. If the people want to join them, and then get in trouble for it, it’s up to them.” Gen. Prayuth said at Government House on Tuesday. “And if someone finds a gun and shoot them, or throws grenades at them, well, they have to live with that. If they aren’t afraid, it’s up to them.”

He quickly added that he was not personally threatening them.

“But it wouldn’t be me, because I would never do such a thing,” Prayuth said. “I’m not being angry when I’m saying these thing. It’s just I’m talking a bit loudly.”

Résultats (Français) 1:

BANGKOK – Président junte Prayuth Chan-ocha a déclaré qu'il ne serait pas en mesure de garantir la sécurité des professeurs d'université qui continuent à critiquer son régime militaire.Son commentaire est venu comme six universitaires déclarés à la police pour entendre les accusations d'infraction au ban de la junte sur les activités politiques pour l'organisation d'une conférence de presse le mois dernier au cours de laquelle ils ont demandé le gouvernement du général Prayuth de respecter la liberté d'expression."S'ils veulent s'engager dans l'activisme ou autre chose, c'est à eux. Si elles n'ont pas peur des lois, c'est à eux. Je ne sais pas à leur sujet. Si les gens veulent se joindre à eux et puis avoir des ennuis pour elle, c'est à eux. » Genèse Prayuth a déclaré mardi à Government House. « Et si quelqu'un trouve un pistolet et tirer sur eux ou jette des grenades chez eux, Eh bien, ils doivent s'en accommoder. Si elles n'ont pas peur, c'est à eux. »Rapidement, il a ajouté qu'il ne menaçait pas personnellement leur. « Mais il ne serait pas moi, parce que je ne ferais jamais une chose pareille », a déclaré Prayuth. "Je ne suis pas en colère quand je dis ces choses. C' est que juste que je parle un peu fort. »

Résultats (Français) 2:

BANGKOK - Junta président Prayuth Chan-ocha a dit qu'il ne serait pas en mesure de garantir la sécurité des professeurs d'université qui continuent à critiquer son régime militaire. Son commentaire est venu comme six universitaires signalés à la police d'entendre des accusations de violation de l'interdiction de la junte sur les activités politiques pour l'organisation d'une conférence de nouvelles le mois dernier au cours de laquelle ils ont demandé au gouvernement du général Prayuth à respecter la liberté d'expression. "Si ils veulent s'engager dans l'activisme ou que ce soit, il est à eux. Si elles ne sont pas peur des lois, il est à eux. Je ne sais pas à leur sujet. Si les gens veulent se joindre à eux, et ensuite avoir des ennuis pour lui, il est à eux. "A déclaré le général Prayuth à Government House, le mardi. "Et si quelqu'un trouve un pistolet et tirer eux, ou jette des grenades, ainsi, ils doivent vivre avec ça. Si elles ne sont pas peur, il est à eux. "Il a rapidement ajouté qu'il n'a pas été personnellement menacé." Mais il ne serait pas moi, parce que je ne ferais jamais une telle chose ", a déclaré Prayuth. "Je ne suis pas en colère quand je dis ces choses. Il est juste, je parle un peu fort ".

Résultats (Français) 3:

bangkok - junte, président prayuth chan l'ocha a dit qu'il ne serait pas en mesure de garantir la sécurité de professeurs d'université qui continuent de critiquer le régime militaire.

son commentaire est que six universitaires signalés à la police d'entendre des accusations d'infraction à la junte d'interdire des activités politiques pour organiser une conférence de presse au cours de laquelle ils ont demandé le mois dernier.le gouvernement prayuth à respecter la liberté d'expression.

"s'ils veulent faire de militantisme ou quoi que ce soit, c'est à eux.s'ils n'ont pas peur de la loi, c'est à eux.je ne sais pas pour eux.si les gens veulent se joindre à eux, puis avoir des ennuis pour ça, c'est à eux. "le général prayuth dit à government house, mardi.« et si quelqu'un trouve un flingue et tire.ou lance grenades à eux, ils doivent vivre avec ça.s'ils n'ont pas peur, c'est à eux. "

il a rapidement ajouté qu'il n'était pas personnellement les menacer.

"mais ce ne serait pas moi, parce que je ne ferais jamais une telle chose", prayuth dit.« je ne suis pas en colère quand je dis ces choses.c'est juste que je parle un peu fort. "