Videotaped sequences were manually

Videotaped sequences were manually coded for activity of facial muscles affecting lip
corner movement (Facial Action Coding System) (Ekman and Friesen, 1978). Sequences
considered for analysis included the first (if any) smile observed during the
two-minute clip of the interview context, and the smile (if any) following the solitary
participant’s exposure to the first joke in a film clip of a Chris Rock comedy routine. All
sequences selected for analysis were coded for zygomaticus major activity (action unit
12) by consensus of at least two certified FACS coders. Agreement between two certi-
fied FACS coders on a subset of 27 participants was 0.91 overall for visible muscle activity
of orbicularis oculi (action unit 6), zygomaticus major (action unit 12), depressor
anguli oris (action unit 15), and mentalis (action unit 17) (Ekman & Friesen, 1978).
Sequences were then digitized at 30 frames per second, producing a set of sequential
640 × 480 pixel uncompressed images (custom software, Matrox Meteor II image capture
board, Pentium II PC with 400 MHz processor and 384 MB RAM). It should be
noted that video sequences were truncated in the interview condition within the first
five seconds after the initial appearance of the smile display because of continued lip
movement associated with talking following the end of zygomaticus major activity. In
the solitary condition, video sequences were truncated at the end of zygomaticus major
activity observed, or at the beginning of the second joke in the comedy routine (approximately
10 seconds after the initial joke stimulus). Although the length of these digitized
sequences does not allow for analysis of extremely long smiling bouts during
which zygomaticus major activity is maintained to some degree, it does allow for the
analysis of spontaneous smiles that are similar in length to the average 4–6 seconds reported
for spontaneous smiles (Frank, Ekman, and Friesen, 1993). Lip corner movement
data from each smile was then analyzed in these digitized image sequences using
computerized facial feature tracking

Résultats (Français) 1:

Séquences sur bande vidéo ont été codées manuellement pour l’activité des muscles du visage qui touchent la lèvremouvement de coin (Facial Action Coding System) (Ekman et Friesen, 1978). Séquencesconsidéré pour l’analyse comprenait le premier (le cas échéant) sourire observée au cours de laclip de deux minutes du cadre de l’entrevue et le sourire (le cas échéant) suite à l’isolementexposition du participant à la première blague dans un extrait de film d’une routine de comédie de Chris Rock. Tous lessélectionné pour l’analyse des séquences ont été codés pour activité principale zygomatique (unité d’action12) par consensus des codeurs de FACS certifiés au moins deux. Entente entre deux certi-codeurs FACS fied sur un sous-ensemble des 27 participants était de 0,91 globale pour l’activité du muscle visibleorbicularis oculi (action unité 6), zygomatique majeur (action unité 12), dépresseurangle, oris (action unité 15) et mentalis (action unité 17) (Ekman et Friesen, 1978).Des séquences ont été numérisées puis à 30 images par seconde, produisant un ensemble de séquentiel640 × 480 images de pixels non compressé (logiciels sur mesure, capture d’images Matrox Meteor IIConseil, Pentium II PC avec processeur de 400 MHz et 384MO de RAM). Il devrait êtrea noté que les séquences vidéo ont été tronqués dans la condition d’entretien dans le premiercinq secondes après la comparution initiale de l’affichage de sourire à cause de la lèvre continuemouvement associé à parler après la fin de l’activité majeure zygomatique. Dansla condition solitaire, séquences vidéo ont été tronqués à l’extrémité du zygomatique majeurl’activité observée, ou au début de la seconde blague dans la routine de comédie (environ10 secondes après le stimulus initial blague). Bien que la longueur de ces numériséséquences ne permet pas pour l’analyse des périodes extrêmement longues souriants pendantl’activité majeure de laquelle zygomatique est maintenue dans une certaine mesure, elle permet laanalyse des sourires spontanés qui ont une longueur semblable aux moyennes 4 – 6 secondes déclaréspour les sourires spontanés (Frank, Ekman et Friesen, 1993). Mouvement de coin de lèvreOn a ensuite analysé les données de chaque sourire dans ces séquences d’images numérisées à l’aideinformatisé de suivi de la fonction du visage

Résultats (Français) 2:

Séquences filmées ont été codées manuellement pour l' activité des muscles faciaux affectant la lèvre
mouvement d'angle (Facial Action Coding System) (Ekman et Friesen, 1978). Sequences
pris en compte pour l' analyse inclus la première ( le cas échéant) sourire observé au cours de la
pince à deux minutes du contexte de l' entrevue, et le sourire ( le cas échéant) à la suite du solitaire
de l' exposition des participants à la première blague dans un clip de film d'une comédie de routine Chris Rock . Toutes les
séquences sélectionnées pour l' analyse ont été codées pour zygomaticus activité principale (unité d'action
12) par consensus d'au moins deux FACS certifiés codeurs. Accord entre deux cats
codeurs FACS fiés sur un sous - ensemble de 27 participants était de 0,91 globale de l' activité musculaire visible
de orbicularis oculi (unité d'action 6), grand zygomatique (unité d'action 12), dépresseur
anguli oris (unité d'action 15), et mentalis ( unité d'action 17) (Ekman & Friesen, 1978). les
séquences ont ensuite été numérisés à 30 images par seconde, produisant un ensemble de séquentiels de
640 × 480 pixels des images non compressées (logiciel personnalisé, Matrox Meteor II capture d' image
carte, Pentium II PC avec 400 MHz processeur et 384 Mo de RAM). Il convient de
noter que les séquences vidéo ont été tronqués dans la condition d'entrevue dans les premières
cinq secondes après la comparution initiale de l'affichage de sourire à cause de la lèvre continue le
mouvement associé à parler après la fin de zygomaticus activité majeure. Dans
l'état solitaire, des séquences vidéo ont été tronqués à la fin du grand zygomatique
activité observée, ou au début de la deuxième blague dans la routine de comédie (environ
10 secondes après le stimulus de plaisanterie initiale). Bien que la longueur de ces numérisées
séquences ne permet pas une analyse extrêmement souriante longues périodes pendant
lesquelles zygomatique activité principale est maintenue dans une certaine mesure, elle ne permet pour l'
analyse des sourires spontanés qui sont semblables en longueur à la moyenne 4-6 secondes rapportés
pour sourires spontanés (Frank, Ekman et Friesen, 1993). Lip mouvement d'angle
données de chaque sourire a ensuite été analysé dans ces séquences d'images numérisées à l' aide
informatisée fonctionnalité de suivi du visage

Résultats (Français) 3:

filmé en train de séquences ont été codé manuellement pour l"activité des muscles faciaux de lipcôté circulation (système de décodage facial) (ekman et friesen, 1978).les séquencesconsidérée pour l"analyse comprenait la première (le cas échéant) souris observées au cours de ladeux minutes de vidéo de l"entrevue, et le sourire (le cas échéant) après isolementl"exposition aux participants la première blague dans un extrait de film de chris rock numéro comique.tousl"analyse des séquences sélectionnées ont été codées pour zygomatique activité (unité d"action12) par consensus d"au moins deux certifiés facs codeurs.accord entre deux certi -é facs codeurs sur un sous - ensemble de 27 participants était de 0,91 ensemble une activité musculaire visibledu muscle orbiculaire (action zygomatique (6), unité d"action abaisse 12),anguli (action ou unité 15) et mentalis (unité 17) (ekman & friesen, 1978).les séquences ont été ensuite numérisé à 30 images par seconde, produisant une série progressive640 × 480 pixel uncompressed images (logiciels capture d"image, cette météorite iipc, avec 400 mhz processeur pentium ii et 384 mb ram).il devrait êtrede noter que les séquences vidéo ont été tronquées dans la condition dans la première entrevuecinq secondes après la comparution initiale de la cause de la poursuite des lèvres sourire displaycirculation associés au zygomatique parler après la fin de l"activité.dansl"isolement, des séquences vidéo ont été tronquées à la fin du zygomatiquel"activité observée, ou au début de la deuxième plaisanterie dans le spectacle (environ10 secondes après la première blague stimulus).bien que la durée de ces numérisésl"analyse des séquences ne permet pas extrêmement longues périodes au sourireactivité qui zygomatique est maintenu pour un certain degré, elle permettra deanalyse des sourires qui sont spontanément une durée semblable à la moyenne 4 – 6 secondes signaléspour les sourires (frank, ekman et friesen, 1993).le mouvement du coinles données de chaque souris a ensuite analysé les séquences d"images numérisées au moyen de cessuivi des caractéristiques faciales