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Pour les dix prochaines années, elle vit à Nohant, La Châtre en Berri, près de la maison de sa grand-mère. Ici, son personnage a été formé ; ici, elle a bu cet amour passionné de scènes de pays et de vie à la campagne qui ni absence, politique, ni dissipation pourrait déraciner ; ici, elle a appris à comprendre les façons et les réflexions des paysans, et mis en place ce magasin riche des scènes et des personnages qui lui a permis une mémoire rétentive merveilleusement pour puiser à volonté. Les progrès de son esprit durant ces premières années mérite bien d'être enregistrées. L'éducation, au sens strict du mot, elle avait aucun. Quelques mois après son retour d'Espagne, son père a été tué par une chute de cheval. C'était un homme de dons littéraires remarquables comme un bon soldat. « Caractère », dit George Sand, "est en grande partie héréditaire : si mes lecteurs veulent me connaître, ils doivent savoir mon père. » À sa mort, la mère a démissionné, mais pas sans une lutte, le soin d'Aurore à sa grand-mère, Mme Dupin de Francueil, un bon représentant de l'ancien régime. Bien que son mari était un patron de Rousseau, qu'elle-même avait échappé de justesse à la guillotine, et avait seulement la moitié bue les idées de la révolution. Dans la vie de son fils qu'elle avait, pour son saké, toléré la mésalliance, mais il était impossible pour la châtelaine majestueuse et sa belle-fille basse-né à vivre en paix sous le même toit. Elle était jalouse comme un amoureux de l'affection de l'enfant, et la lutte entre la mère et la grand-mère était l'un du plus amer de troubles enfantins de l'Aurore.
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